Seulement huit cyclos au RDV. Le froid a laissé au lit plus d’un, surtout les membres du « conseil des anciens ». Le seul parmi nous, Jean Charles qui a fait demi tour en arrivant à St. Cheron.
Aujourd’hui, dans notre section « retour aux sources » nous avons Pierre, qu’on ne voyait pas depuis des mois. Il nous a accompagné jusqu’aux alentours de Rochefort en Yvelines. Ce qui m’a permis de faire un commentaire sur son vélo (un Cyfac) dans la version espagnole du blog car c’est une marque est inconnue en Espagne.
Comme nous avions un léger vent du sud-ouest, nous sommes allés vers la vallée Chevreuse, mais comme Marc avait envie de côtes, il nous a fait passer par celle de Souzy la Briche puis St. Cheron.
Heureusement, le groupe a eu un peu de patience et ils ont réussi à calmer un peu les ardeurs de Patrick (qui était de retour après un WE en Bretagne) donc, après les côtes à mon rythme, j’ai pu les rattraper à l’entrée de Le Val St. Germain où… Thierry a crevé… encore une fois… ;-)
Patrick et l’autre Thierry en train de se ravitailler pendant qu’ils attendent… 
Et Patrice en train de stocker de la vitamine D au soleil…
Aucun incident à signaler pendant le reste du parcours jusqu’à Clairefontaine. Bon, j’ai lâché prise plusieurs fois (avec Thierry comme seule compagnie) mais Marc, Patrice, Thierry et, surtout, Patrick, ont eu la patience de nous atteindre tout au long du parcours jusqu’au pied de l’Escargot… Super !
Conclusion : 3h38 de vélo pour parcourir 88,5 km avec 575 m de dénivelée positive à un rythme légèrement au-dessus du planifié (135 pulsations) et une vitesse moyenne de 24,4 km/h.
Vous pouvez constater que le pic du graphique est bien centré (entre 130 et 140 pulsations) mais cette colonne devrait être plus haute et celle de droite (entre 140 et 150) un peu plus basse (comme celle de 120-130). Bon aujourd’hui, à la sortie de Janvry, je me suis permis d’un petit sprint d’environ une minute pour « décrasser la machine » ;-)
NOTE: Ce blog est un espace participatif donc n’hésitez pas à faire vos commentaires (il suffit de faire clic sur le mot « commentaires » à la fin de l’article et écrire). Les espagnols en font pas mal donc, même si parfois ça « bogge » lâchez vous… ;-)
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