samedi 3 avril 2010

SORTIE DOUBLE

Avant tout mes excuses pour ce compte rendu si tardif mais je traverse une période un peu chargée : d’abord le travail (mon chef avait marre de voir que je n’étais pas trop occupé et m’a mis sur la nouvelle mission, je vous raconterai un autre jour), ensuite, j’ai dû apporter certaines retouches au prochain article qui va être publié dans la revue Pedalier en Espagne) et finalement, mais très important, l’entrainement qui continue à monter en intensité…

En plus, je vous l’annonce d’avance, il n’y a pas de photos…

Je commencerai par la sortie de samedi, 46 km à rythme très tranquille, pour continuer à développer mes capillaires. La vraie performance fut d’éviter la pluie (mais pas les routes mouillées, ce qu’impliquât le lavage du vélo). Je ne sais pas comme j’ai fait mais le seul trou dans les nuages se déplaçait avec moi.

Par contre, le dimanche, elles ont eu sa revanche car toute la sortie (plus de trois heures et demie) s’est déroulée sous la flotte.

C’est peut être pour ça qu’il n’avait pas beaucoup de monde au RDV : Environ dix cyclos et, parmi eux, aucun « pro ». Cependant, nous avons eu le retour de Thierry (après ses vacances dans le Tarn), Attilio (qui revenait d’Egypte) et Pierre (qui est sorti tout seul ce dernier temps).

Comme toujours, rythme tranquille au départ, jusqu’à que Patrick (une fois de plus) et Thierry (qui est en pleine forme après son séjour) ont pris les choses en main. Et quand le « conseil des anciens » décida rentrer, nous sommes restés, comme d’habitude, à quatre : Marc, Patrick, Thierry et moi.

Bon, cette fois Pierre est resté un peu avec nous, jusqu’à en avoir marre de suivre Marc qui n’arrêtait de rallonger la sortie. On aurait dit qu’il ne sentait pas la pluie.

Mais la véritable surprise de la journée fut la fringale monstre de Patrick. Imaginez vous son état qu’il nous empêcha de rester avec lui. Vous savez : « Mieux seul qu’en mauvaise compagnie ».

Logique, car il n’arrêtât pas de mettre un rythme d’enfer pendant toute la matinée ou d’accrocher à la roue de Thierry (qui revient vraiment fort). La petite différence est que, maintenant, je peux répondre (même si je ne suis pas encore au pic de ma forme) et Marc, avec son style rouleau-compresseur (il est impossible de le lâcher) s’accroche aussi. Donc il n’a pas le temps de se reposer… ;-)

Bref, il a le même style que j’avais auparavant. Avant lire le fameux bouquin qu’on m’a offert pour Noel (désolé, il est en Espagnol… ;-)

En conclusion : Sortie de 3h38, 100% sous la flotte, pour parcourir 95 km avec 770 m de dénivelée positive (ce n’est pas mal…) à une vitesse moyenne de 26,2 km/h. Malgré tout, une fréquence cardiaque de 143 pulsations (plus bas que la semaine dernière :-). Et comme vous pouvez le voir sur le graphique je me sers, maintenant, de toute la plage de fréquences.
Par ailleurs, l’heure et demi que j’ai passé à bichonner le vélo… ça compte ?

Bonne Route

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire