Des vacances un peu atypiques, cette année
ici en Espagne… Au hasard du calendrier qui les a placées très tard dans la
saison il faut ajouter notre décalage de quelques jours pour laisser un peu de
temps à la récupération de mon fils Marc après son opération d’appendicite.
Le fait est qu’entre ça et les jours
fériés, j’ai été décalé par rapport à mes collègues de vélo habituels…
Par exemple, le mercredi 1er mai
je suis allé au point de rendez-vous juste une demi-heure trop tard… ils
venaient de passer à l’horaire d’été. Donc je me suis trouvé et parti tout séul
pour une sortie d’environ 100 km et 1600 m de dénivelé.
Samedi, j’avais une journée de « formation »
en anglais (avec séance de vélo y
comprise) pour préparer la nouvelle aventure où je suis en train de m’embarquer
(je vous expliquerai un peu plus dans quelques semaines)…
Lors de la séance de vélo… Sergi nous avait
préparé une « petite » surprise. La montée du Rat Penat et de Can
Grau, des côtes dans le massif du Garraf avec des pourcentages du 23 et 19%...
Parmi dix cyclistes de plusieurs
nationalités, j’étais le seul à ne pas avoir un plateau de 34 dents donc, avec
un 38-25 j’ai souffert un peu… ;-)
Mercredi c’était la sortie « Non Stop »
que cette année a été moins populaire car, le WE dernier, mes collègues ont
fait la traditionnelle excursion à Andorre (400 km en deux jours pour faire l’aller-retour
sur le vélo) et le WE prochain il y a deux RDV importants de la saison : la
course en honneur d’Isaac GALVEZ et la première cyclo de la saison (Terra de
Remences).
Donc finalement on était que trois : un
espagnol, un hollandais, et un français (ou presque… ;-)
Bon, au début nous étions sept mais il y a
quatre que sont rentrés à mi-parcours…
Presque un retour aux origines de la « Non
Stop » quand il ne s’agissait que d’entrainement en solitaire pour préparer
les premières cyclos de la saison.
Bien que, sur des sorties si longues, on
est bien content d’avoir un peu de compagnie : Albert (un gars qui a passé
quinze jours dans le camping et qui est en train de préparer ça première
Marmotte) et Manolo qui nous a fait découvrir les petites routes de la région
du Penedés (aussi connue comme la Toscane espagnole)…
Un seul incident sur la route, la crevaison
de Manolo sur la descente de Can Ferrer.
Et à la fin du parcours, comme toujours ici
en Espagne, on s’hydrate convenablement… ;-)
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